Je me demande ce qu'elle pense de ça, la comédienne québécoise Fanny Mallette, qu'il y ait une comédienne française qui s'appelle Fanny Valette. Ça doit être intriguant, cette presque homonymie, comme un univers de possibilités.
Je me demande ce qu'elle pense de ça, la comédienne québécoise Fanny Mallette, qu'il y ait une comédienne française qui s'appelle Fanny Valette. Ça doit être intriguant, cette presque homonymie, comme un univers de possibilités.
Bon, bon, beaucoup de gens m’ont tagué, depuis un mois (dont deux dans la seule journée d’hier), alors je commence à avoir l’air bête de ne pas m'y soumettre. Voici donc Cinq (Non, Sept, Tant Qu'À Faire!) Choses Que Vous Ne Saviez Pas Sur Moi.
1) Quand j’ai lancé P45 en 2000, je revenais d’Angleterre et personne autour de moi n’avait envie de se lancer dans l’aventure, à part Gabrielle Lecomte qui a fait des illustrations. Avec comme résultat que le premier numéro a été écrit par moi tout seul. Mais comme je ne voulais pas avoir l’air d’un égomaniaque, j’ai créé plein de pseudonymes. Ce n’est qu’à partir des numéros suivants que de vrais collaborateurs se sont ajoutés. Mais certains pseudos ont quand même duré des années.
2) Un de ces pseudonymes est Lysiane Gagnon, et j’écris encore sous ce nom dans La Presse.
3) La dernière chose n’est pas vraie. Ce qui est vrai, cependant: je n’ai aucune difficulté à écouter l’émission de MC Mario.
4) Jeune adolescent, au milieu des années 80, je rêvais de devenir un genre de yuppie avec loft dans le Vieux-Montréal et machine à café italienne. Cet idéal a heureusement été balayé par la maturité et les années 90.
5) Au début du mouvement rave à Montréal, en 1992-94, j’étais un raver plutôt hardcore. J'ai plein de nostalgie pour cette époque où nous voulions changer le monde par la danse et l'ecstasy. Nous étions jeunes.
6) Jacques Godbout est sans doute ce que j’ai de plus près d’une idole.
7) Plus jeune, j’éprouvais une sorte de dégoût pour les gens qui, en vieillissant, délaissent peu à peu les bars et les clubs pour les restos et les soupers entre amis, et - avec une absence totale de jugement - je disais que je ne deviendrais jamais comme ça. Je suis en train de le devenir, mais je ne me dégoûte pas particulièrement.
Sur The Morning News, Sarah Hepola nous présente ses vidéos préférés de l'année. On y retrouve des choses excellentes comme celle-ci.
Ainsi que le fameux segment de la BBC où on avait par erreur amené sur le plateau le chauffeur de taxi, plutôt que l'invité prévu. Le pauvre gars avait fait son possible pour discuter nouvelles technologies.
Pas la moindre idée, vraiment.
«C'est tellement beau que je voudrais dormir les yeux ouverts», et autres perles.
Meilleure résolution en Quicktime ici.
Via Rock'n'doudou.
Comme à chaque vendredi, nicolaslangelier.com vous présente une nouvelle manière de perdre votre temps. Mais attention, celle de cette semaine est particulièrement fantastique et (inévitablement) particulièrement propice à la procrastination. Ça s'appelle Overheard in New York, c'est un endroit où les gens vont poster des bouts de conversation entendus dans les rues de la ville, et c'est la chose la plus addictive depuis la Krazy Glue dans un sac de papier. Essayez d'en lire juste un, voir.
Un bref échantillon, juste pour vous:
Chinese girl: [in Chinese] Your luck just ran out.
Black girl: What the fuck did she say?
Chinese passerby: You are fucked.
***
Old gentleman: What is venison?
Waiter: You know the movie Bambi?
***
Hipster chick: Do you think New Yorkers are mean, or are we just so jaded we're not fazed by anything?
Hipster dude: I think it's a combination of both.
Hipster chick: Because, well, my friend just found out he has testicular cancer, and he's getting one of his balls removed on his birthday. And I thought that was hilarious. You know what else? Maybe New Yorkers are also whores -- I seriously considered sleeping with him just so I could say I was the last person to see his left ball.
Hipster dude: That's a bit soulless. But it's also a little funny.
Hipster chick: See, really, if you think about it in the right way, everything is funny.
Hobo: You're just a mean whore.
***
American Airline pilot: Ok guys, we're just waiting on some United dude to clear our tail so we can push.
***
Guy #1: I mean, who is impressed by knowing all the state capitals? That's easy. I can name every state capital.
Guy #2: Vermont.
Guy #1: Huh?
Guy #2: What's the capital of Vermont?
Guy #1: That's not a state.
***
Je pourrais continuer pendant des heures.
La preuve:
Guy, staring at girl: You look like someone I know.
Girl: It's me.
Guy: Oh, hi Alexis. You look different at eight in the morning.
***
Une autre preuve:
Chick #1: Dude, everyone's popping out babies these days. JLo, TomKat, Britney. It's like they're the new fucking accessory.
Chick #2: Yeah, who wants a fucking baby anyway? You just turn into a fatass with stretch marks and saggy tits with a screaming infant who no one wants to be around.
Very pregnant passenger: I'm due in two weeks.
Chick #1: Aww! Is it a boy or a girl?
***
Bon, ok, un dernier:
Guy #1: I have been thinking some deep shit recently.
Girl #1: Yeah, I mean, me too.
Girl #2: Me too.
Girl #3: Me too.
***
Dernier dernier:
Punk #1: You hear CBGB's closed down?
Punk #2: Yeah, that sucks.
Punk #1: I had a threesome in the bathroom there during an Alkaline Trio concert.
Punk #2: Really?
Punk #1: No.
Punk #2: Nice story though.
Allez lire le reste ici.
Bon, bon, on m'a demandé de recommencer à mettre des choses pas vraiment importantes, le vendredi. En voici une, un Messages à caractère informatif tiré de Nulle part ailleurs.
Journaliste, commentateur culturel, conseiller littéraire, créateur de projets, éditeur, administrateur, ailier gauche, Montréalais.
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Il y a souvent quelque chose de presque mystique, dans le fait d'être tombé sur un livre précis à un moment précis de notre vie.
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