06 juin 2010

Chronique magazines à Christiane Charette: Baron et The Atlantic

Jeudi passé, dernière chronique magazines de la saison, pour Marie-Louise Arsenault et moi. Au programme: 

1) Magazine de la semaine: Baron, un nouveau magazine québécois. 

2) L'optimum, avril 2010 : années 90, pourquoi ces années-là ont tout changé.   

3) The Atlantic, juin 2010, « How to save the news » : les projets de Google pour sauver le journalisme.  

4) Details, mai 2010 : un portrait de Mark Pincus (créateur des jeux Farmville et Mafiawars) et l'article « The new thrill pill » ou comment des médicaments contre le Parkinson sont en train d'engendrer de nouveaux comportements jugés dangereux.  

Ça s'écoute ici.

6 juin 2010 17:07:56 | Christiane Charette, Culture, Journalisme, Médias

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NOTE PLUS ANCIENNE
Table ronde ce vendredi: «Séditions. Les points aveugles du territoire éditorial» J'ai un peu perdu l'habitude de mentionner ici les événements publics auxquels je participe, je vais essayer d'être plus assidu... En voici un qui a lieu vendredi, en périphérie du colloque Édition et sédition aujourd’hui: une table ronde sur «les enjeux de la marginalité éditoriale, de ses points aveugles et de ses zones franches». C'est ouvert à tous.
NOTE PLUS RECENTE
Mon prochain livre: un titre, une couverture et autres détails C'est le 14 septembre que sera publié mon nouveau livre, aux Éditions du Boréal. Le titre: Réussir son hypermodernité et sauver le reste de sa vie en 25 étapes faciles. Le genre: une fiction avec des sections plus essai, des illustrations, des morceaux d'autofiction, aussi—tout ça sous forme de livre pratique. Une chose plutôt hybride, donc. Ça parle de notre époque en général et de nous en particulier, de modernisme et de George Orwell, d'Internet et de musique pop, de hype et de nature, d'amour et de mort, de Tim Wallach et de comment on peut sauver notre âme et notre coeur au milieu du tourbillon des années 2000. Sur la quatrième de couverture, ça dira sans doute quelque chose comme ça: Ce n’est pas ainsi que les choses devaient se passer, n’est-ce pas? La modernité nous a laissés tomber. Vous a laissé tomber. Et un jour, sans doute, vous en aurez assez. Ce sera l’aube, peut-être au printemps. Votre père sera mort, la fille de votre vie sera partie, vos rêves se seront effilochés les uns après les autres. S’il vous en reste la force, avant qu’il ne soit trop tard, vous déciderez alors de sauver ce qui reste...