20 janvier 2010

Chronique magazines à Christiane Charette

MagazinesNouvelle chronique magazines chez Christiane Charette, ce matin, en compagnie de Marie-Louise Arsenault. Au menu: 

1- Found Magazine, numéro 7.

2- Wired, janvier 2010: « Why losing big can be a winning strategy ». Avec Alec Baldwin, Bill Clinton et Mike Tyson.

 3- Harper's, février 2010: la grande escroquerie des bourses du carbone. 

 4- Philosophie magazine, décembre-janvier 2009-2010: Entretien avec Avital Ronell, philosophe américaine, amie et élève de Derrida et très peu conventionnelle, elle a réfléchi sur la bêtise humaine, l'addiction et le téléphone. 

5- Relations, février 2010: dossier « La beauté du monde ». 

Ça s'écoute ici.

20 jan 2010 12:49:55

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NOTE PLUS ANCIENNE
The Federation of Damanhur In the Alpine foothills of Northern Italy is The Federation of Damanhur. Damanhur is an eco-society based on ethical and spiritual values awarded by an agency of the United Nations as a model for a sustainable future. Founded in 1975, the Federation has about 1,000 citizens and extends over 500 hectares of territory. Every year thousands of people visit Damanhur to experience its social model, study the philosophy and meditate in the Temples, an underground construction that advocates describe as “The Eighth Wonder of the World.” At its university and mystery school, courses, workshops and conferences range from Music of the Plants to Astral Travel. via blog.sptnk.org
NOTE PLUS RECENTE
À propos de la nécessité pour les journalistes de se retrousser les manches et de cesser de se lamenter 7e chronique de ma série Siècle no 21, parue dans le magazine Le Trente, février 2010. Si on établissait le palmarès des conversations déprimantes qu'il est possible d'avoir, en ce début des années 10, une jasette avec un journaliste s'y trouverait certainement en bonne position, quelque part entre le spécialiste de l'Arctique et l'adéquiste. Bien sûr, les sources de découragement ne manquent pas, pour quiconque tient à une information de qualité. Mais le plus décourageant, dans ces conversations avec les journalistes, ne fait pas partie de cette litanie de problèmes que nous connaissons par coeur (déclin des quotidiens payants, place grandissante de l'infotainment, etc). Le plus décourageant, ce sont plutôt les collègues eux-mêmes. Leur apathie et leur résignation face à l'avenir. Leur attitude «Après nous le déluge». Comme si les journalistes québécois en étaient venus à voir comme indissociables l'avenir de l'information et celui des entreprises qui en ont été le fer de lance au XXe siècle. Comme si, en fait, les journalistes avaient décidé que, dans la grande réorganisation du monde de l'information qui se brasse en ce moment, ils ne seraient que de simples exécutants plutôt que des porteurs de nouveaux projets. Difficile de comprendre ce manque d'initiative...