22 janvier 2008

La pression monte

Combien de temps les Forces armées révolutionnaires de Colombie pourront-elles résister à la pression intenable exercée sur eux par le groupe Facebook Liberté pour Ingrid Betancourt?

22 jan 2008 12:24:53 | Internet

2 Commentaires

Marie

Ils vont finir par craquer, c'est sûr. Un groupe Facebook, c'est plus fort que les mitraillettes, dudes.

Rédigé par : Marie | 22 janvier 2008 à 13:08

SimoneG

À quand un groupe Captivité pour Patrick Masbourian?

Rédigé par : SimoneG | 22 janvier 2008 à 16:21

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NOTE PLUS ANCIENNE
Mon pays, ce n'est pas un pays... ... c'est un village, aux alentours de 1962: La Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) souligne par un défilé de voitures le 60e anniversaire de la proclamation du fleurdelisé comme drapeau officiel du Québec. «Selon le président de la SSJB, Jean Dorion, ce fut un grand pas dans l'histoire du peuple québécois.»
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Dix mille choses qui sont vraies9 907Nous acceptons très docilement la médiocrité de certains articles électroniques Si vous aviez payé 300$ pour un grille-pain, disons, et qu’au bout d’un an votre grille-pain se brisait et n’était pas réparable, ou qu’il en coûtait un autre 300$ pour le remettre en état de marche, vous seriez en beau maudit. Vous écririez au fabricant, vous vous plaindriez à l’Office de la protection du consommateur, vous demanderiez à l’équipe de La Facture de venir tourner votre rage et votre désespoir. Bref, vous n’accepteriez pas les bras croisés de vous être fait vendre un produit aussi médiocre que trop cher. Pourquoi, alors, sommes-nous si conciliants quand la même chose se produit avec notre iPod, ou notre téléphone cellulaire, ou notre ordinateur de poche? Parce que ce sont des articles électroniques? Parce que de toute façon nous avions envie d’acheter le modèle plus récent? Parce que «c’est comme ça, c’est tout»? Il est difficile de comprendre la docilité avec laquelle nous acceptons les odieux stratagèmes des manufacturiers. Parce que tout ça est prévu, bien sûr : les fabricants inscrivent sciemment une durée de vie limitée à leurs produits, afin que nous soyons obligés d’en acheter un nouveau au bout d’un an, ou deux, ou trois. On s’appelle ça l’obsolescence programmée, et nous...