08 octobre 2007

Le hockey à Christiane Charette

Markov_270907J'étais à Christiane Charette ce matin pour parler de mon amour pour le hockey, en compagnie de Marylène Fortier, Stéphane Laporte et Claude Quenneville. Ça s'écoute ici, à partir du milieu de la première heure.

8 oct 2007 11:10:48 | Autres chroniques radio, Christiane Charette, Sport

3 Commentaires

oniquet

À part un "définitivement" plus ou moins à sa place, je n'ai même pas réussi à noter de citations indigne de mention.

Rédigé par : oniquet | 10 octobre 2007 à 17:23

Maxime

Si seulement la tordeuse d'épinette pouvait s'attaquer à tous les batons de hockey de la terre!!!!

Ensuite les batons de baseball et finir avec les batons de golf!

Non mais quelle obsession pour les batons de toutes sortes!

Rédigé par : Maxime | 10 octobre 2007 à 21:44

Nicolas Langelier

@ Olivier: Le «définitivement» était mon hommage au commentariat sportif.

Rédigé par : Nicolas Langelier | 11 octobre 2007 à 10:41

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NOTE PLUS ANCIENNE
Dix mille choses qui sont vraies9 916Il vous arrive parfois de souhaiter être une outarde Vous ne dites/pensez pas ça littéralement, bien sûr. Je voudrais être une outarde», ça sonne un peu ridicule, franchement. Comme un vers dans un mauvais poème, ou quelque chose qu’on trouverait dans la chanson d’un artiste pop québécois qui cherchait désespérément une rime avec «moutarde». Ce dont on parle plutôt ici, c’est d’une envie fugitive, au bord de l’inconscient, qui vous prend parfois au début du mois d’octobre quand, les yeux au ciel, vous regardez passer un vol d’outardes, et que vous songez à leur destination finale, ensoleillée et possiblement tropicale. Et ce que vous souhaitez alors, c’est ceci : pouvoir partir, vous aussi, à des milliers de kilomètres de vos tracas actuels, de vos responsabilités et de l’hiver approchant, pouf, laissez tout ça derrière, disparaître, aller traîner pendant six mois dans un endroit où il fait chaud, manger des trucs exotiques, voir la mer, peut-être même vous baigner dedans – puis éventuellement revenir, un peu plus bronzé, un peu plus mince, beaucoup plus serein. Il doit y avoir quelque chose de très apaisant, dans le fait de survoler comme ça les champs et les vallées et les banlieues, en vous laissant porter par les courants ascendants, avec le bruit...
NOTE PLUS RECENTE
Touché Je suis extrêmement touché que Sophie Durocher et Richard Martineau aient décidé de nommer leur enfant en mon honneur. Flatté, vraiment.