12 mars 2007

La nouvelle philanthropie

Logo_bazzo_1Le sujet de ma chronique à Bazzo.tv: La nouvelle philanthropie. La philanthropie a été très présente dans les médias, depuis quelques mois. On a beaucoup parlé de la fondation de Bill Gates, par exemple, de l’énorme don de Warren Buffet, de la bataille de Bono pour l’Afrique, et de sa campagne Product Red. Il y a aussi eu le lancement de Google.org, un nouvel organisme qui risque de révolutionner la philanthropie: contrairement aux organismes de charité traditionnels, Google.org est en fait une entreprise à but lucratif. Même chose pour l’organisme mis sur pied récemment par Richard Branson pour combattre le réchauffement climatique, et celui lancé par le fondateur de eBay, qui mise sur le micro-crédit pour changer le monde. Bref, regard sur la nouvelle philanthropie, et ceux qui la font, les «philanthropreneurs»: leur philosophie, leurs pratiques, leur éthique.

Détails, liens et extrait ici.

12 mar 2007 17:20:25 | Bazzo.tv, Chroniques télé, Justice sociale, Société, Tendances

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NOTE PLUS ANCIENNE
Question identitaire Je me demande ce qu'elle pense de ça, la comédienne québécoise Fanny Mallette, qu'il y ait une comédienne française qui s'appelle Fanny Valette. Ça doit être intriguant, cette presque homonymie, comme un univers de possibilités.
NOTE PLUS RECENTE
Dix mille choses qui sont vraies9 933Au Scrabble, les joueurs se plaignent toujours des lettres qu’ils ont pigées J’ai beaucoup de difficulté à imaginer comment on peut bien se sentir, à 80 ans. Mais il me semble qu’à cet âge vénérable, on doit avoir accumulé une telle connaissance de la nature humaine qu’on doit très souvent vouloir se taper la tête contre les murs, tant cette nature est prévisible. Ça doit être complètement exaspérant. Tellement, en fait, qu’il est étonnant que les octogénaires ne commettent pas plus de meurtres. C’est peut-être la sagesse. Ou, plus probablement, les problèmes de vue. Des exemples? Dites que vous avez 33 ans: une fois sur deux, juré, on vous répondra «L’âge du Christ». Ou allez voir un feu d’artifice : au moins 20 minutes avant la fin, des gens autour de vous commenceront à dire «Je pense que c’est la finale, là». C’est inévitable. Mais l’archétype de l’être exaspérément prévisible est sans aucun doute le joueur de Scrabble. C’est immanquable: le scrabbleur trouvera une raison d’être insatisfait de son sort, et il le fera savoir haut et fort. Il aura pigé des consonnes alors qu’il voulait des voyelles, ou vice versa. Ou un E, disons, alors qu’il avait absolument besoin d’un T. En fait, il est impossible d’énumérer toutes les causes d’insatisfaction...