Paru dans La Presse, mardi 17 octobre 2006
Journaliste, commentateur culturel, conseiller littéraire, créateur de projets, éditeur, administrateur, ailier gauche, Montréalais.
Tout à fait vrai! Et parallèlement nous angoissons côté obésité!
Rédigé par : Miss Patata | 17 octobre 2006 à 09:24
Sans oublier le ton impératif avec lequel Pinard , Di Stasio et compagnie nous informent que la fleur de sel et la vanille naturelle sont des incontournable que tous peuvent se payer.
Ces diffusions sont sans contredit produites avec une certaine classe d'auditeur en tête (et du même coup un certain budjet), alors q'elle sont écoutées majoritairement par une classe légèrement moins fortunée, qui fait l'écoute pour rêver, un peu comme on regarde La Vie des Gens Riches et Célèbres - jadis - ou les soaps de l'après-midi.
Contrairement à des deux derniers, cependant, ces diffusion culinaires nous parraissent plus accessibles. On nous répète que les recettes sont faciles et peu chers - sauf dans les quelques cas où ils se "gâtent" avec un chêvre à 150$ du kilo...
Il est donc assez simple de voir pourquoi le nouveau regard de la cuisine la rends si populaire; elle est devenue le nouveau Westmount, la nouvelle Lexus, bref, le nouveau symbole de changement de classe por le meilleur... ou du moins la novelle tentative de le faire.
Rédigé par : Manu | 17 octobre 2006 à 13:43