Paru dans La Presse, mardi 24 octobre 2006
Journaliste, commentateur culturel, conseiller littéraire, créateur de projets, éditeur, administrateur, ailier gauche, Montréalais.
perso, mon modus operandi est assez simple : Ne jamais refuser une invitation raisonnable. Et ce, pour toutes les raisons citées ci-haut. Ça et se coucher très tard. J'aurai l'éternité pour dormir une fois mort.
Rédigé par : [insert clever name] | 24 octobre 2006 à 11:28
J'ajouterais qu'il faut, une fois de temps en temps, en accepter une, une invitation désaisonnable. Pour que le lendemain, on se dise que s'était complètement fou, que vous n'avez pas dormi de la nuit, que vous êtes crevé, mais qu'au fond, le jeu en valait bien la chandelle.
Rédigé par : myriam | 25 octobre 2006 à 00:44
Merci de nous rappeler à l'ordre, parfois on se laisse aller et on s'oublie.
Rédigé par : Reda | 25 octobre 2006 à 01:04
J'ai effectivement regarde les 5 saisons de SIx feet under, et j'ai pleuré, pleuré, et pleu-ré sur la dernière séquence, sur une musique a se couper les veines de SIA...
AH! J'ai la toune sur mon ipod et je pourrais encore pleurer juste en l'écoutant...
Bon... ca m'a fait du bien en parler. Je vais annuler ma théraphie cette semaine :)
Rédigé par : mardimax | 25 octobre 2006 à 17:53