04 mars 2006

9 972: En cas de déprime, de maladie ou d’ébriété, l’utilisation correcte de la vaisselle est toujours la première chose à foutre le camp

Paru dans le cadre de la chronique Actuelités, La Presse, samedi 4 mars 2006

4 mar 2006 01:36:00 | Actuelités, Dix mille choses qui sont vraies

5 Commentaires

G.

...notre paume ouverte!! lol

Rédigé par : G. | 04 mars 2006 à 07:54

baillairge

Fragile aussi, lancée au bout de nos bras.

Rédigé par : baillairge | 05 mars 2006 à 18:42

[insert clever name]

Mais c'est tellement agréable de manger ses céréales le matin, pressé, dans un tuperware carré.

Rédigé par : [insert clever name] | 06 mars 2006 à 00:30

Nicolas

Hey Alex, t'es allé voir Block Party, le docu?

Rédigé par : Nicolas | 06 mars 2006 à 16:28

[insert clever name]

nope, j'aurais du?

Rédigé par : [insert clever name] | 06 mars 2006 à 18:02

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.

NOTE PLUS ANCIENNE
Actuelités recommande 1 Ma voisine en maillot Le nouveau livre de Jimmy Beaulieu. Sentimental et langoureux. Comme l’été qui arrive en avance, cette année. 2 Le Sportnographe Les commentateurs sportifs les plus drôles au Québec. Plus drôles même que Denis Potvin et Danièle Sauvageau dans un duel oratoire, après quelques cocktails? Même. 3 Prendre soin de soi, en ce printemps de tous les shows Alors qu’à Montréal les spectacles se succèdent à un rythme qui en est presque ridicule, certains ont déjà commencé à en subir les conséquences: tympans abimés, foies amochés, comptes bancaires troués. Ponderez-vous un peu, amateurs de rock ‘n roll: vous ne passerez pas à travers, à ce rythme-là. Paru dans le cadre de la chronique Actuelités, La Presse, samedi 4 mars 2006
NOTE PLUS RECENTE
14 000 Le nombre de personnes détenues sans procès dans les prisons irakiennes, selon un nouveau rapport d'Amnesty International. Fin novembre 2005, plus de 14000 personnes étaient détenues par la FMN. Elles étaient réparties dans quatre centres principaux sous contrôle américain (...). Certains détenus sont incarcérés depuis plus de deux ans sans espoir de solution ou de recours; d'autres ont été libérés sans explications ni excuses et sans aucune compensation pour les mois passés en prison. L'arbitraire d'un tel système autorise toutes les violations des droits humains.